dimanche 15 février 2015

L'HISTOIRE DU ROYAUME GONDI CAPITALE DJAKA.

Introduction:
   Pendant l'occupation et le génocide du peuple GONDI par la France, l'histoire du royaume GONDI capitale DJAKA a toujours été confondue avec l'histoire de France. C'est ainsi que le territoire GONDI a été baptisé la France, la France libre, la France de l'Afrique équatoriale, la république française au Kongo capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe-Noire.
    Le gouvernement collaborationniste de Mr Dénis Sassou Nguesso avait exigé de Sa Majesté le Roi DJAKA 1er , des données historiques pertinentes et suffisantes : Lettres n° 2493 et n° 2489 prouvant le Génocide GONDI perpétré pendant l'occupation française de 1872 à nos jours donc 2015.
    Sa Majesté le Roi DJAKA 1er va mettre fin au débat sur le changement ou non de la Constitution du 20 Janvier 2002, qui semble-t-il a donné naissance à la république française au Kongo proclamée le 28 Novembre 1958.

                                             
I- La République française au Kongo capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire:
      Dans l'histoire de la république française, chaque fois qu'il a fallu rédiger une nouvelle Constitution, c'est l'Assemblée constituante élue par le peuple qui en a été chargée. C'était le cas en 1789, en 1792, en 1848, en 1870-75, en 1946. La seule exception est la Constitution actuelle, celle du 4 Octobre 1958, qui a donné lieu à la proclamation de la Ve République française le 28 Novembre 1958, avec des pays africains comme la Mauritanie, le Tchad, le Gabon et la France au Kongo. Cette Constitution française du 4 Octobre 1958 a été rédigée par seulement quelques "Experts" désignés par le Général de Gaulle.
    A- Naissance de la première république française: la révolution de 1789:
          Les Etats généraux convoqués en Mai 1789 se proclament dès le mois de Juin 1789:  Assemblée nationale constituante.
    En Août 1789: une déclaration des Droits de l'homme est publiée.
La première république française est proclamée le 21 Septembre 1792 jusqu'en 1804.
    B- Naissance de la seconde république française : 1848 -1851:          les journées de Février 1848 fondent la IIe République française.
     C- Naissance de la IIIe République française :1870- 1940
  La IIIe république française est proclamée le 4 Septembre 1870, après la défaite de l'empire français lors de la guerre Franco-Allemande, la IIIe république est proclamée.
                 1- Monsieur Adolphe Thiers, Chef d'Etat de la France: 1871-1873:
                  -De Brazza, quitte son pays l'Italie pour venir faire le djihad en France. Il est admis à l'âge de 16 ans à l'Ecole navale de Brest. En Juin 1872, il sort avec le grade d'Aspirant de Marine. Au temps de sa jeunesse, l'Italie réalisait son unité: à l'achèvement de l'unité italienne voulue ardemment par tous les patriotes s'opposait une dernière résistance, celle du Pape de Rome acharné à défendre son pouvoir politique sur les "Etats de l'Eglise" et qui n'hésita pas, à maintes reprises, à faire appel contre le peuple romain, contre les patriotes italiens, aux canons et aux fusils de Louis-Napoléon Bonaparte, prince-président, puis Empereur des français. La famille de Brazza, comme la plus grande partie de l'aristocratie romaine avait pris parti contre le libéralisme et l'idéal national, pour le maintien de l'absolutisme et du pouvoir pontifical.
  Les troupes françaises défendaient alors Rome contre les Italiens. Reniant sa patrie, Brazza préféra s'exiler: il fut reçu à l'école navale en France, à titre étranger, refusant toujours de se dire italien, mais se déclarant"sujet du Saint Père"
Ceci par réflexe de classe et sans le moindre motif religieux car Brazza n'était pas croyant.Il fit, avec le grade d'Aspirant, la guerre de 1870-1871 contre ses propres parents romains et italiens.
Puis, servant toujours à titre étranger, il s'embarque sur la "Jeanne d'Arc" et avec la compagnie de débarquement du navire, il participe à l'atroce répression de l'insurrection de Kabylie en Algérie en 1871.
En 1872, attaché à la station navale de l'Atlantique Sud et il s'installe dans le royaume GONDI capitale DJAKA. Il participe à la traite négrière au marché de Lopé au Bas Ogooué pour alimenter le camp d'Extermination et de concentration de Mbirou-DJAKA.






















2-Monsieur Mac-Mahon : Chef de l'Etat de la France de 1873 à 1879.
    - De Brazza ,après s'être naturalisé Français le 12 Août 1874, d'origine italienne, se voit ensuite confier une mission d'exploration dans le Haut-Ogooué, au Gabon, par le Ministère français de la Marine.
3- Monsieur Jules Grevy: Chef de l'Etat de la France de 1879 à 1887.
   -De Brazza signe un faux traité avec Makoko qui veut dire Roi nom qu'il a inventé le 10 Septembre 1880 à Nduo village de Makoko dans la Bouenza loin du fleuve Kongo ; ce qui va compromettre son plan de faire une compensation avec le Roi Léopold II qui ne peut céder ni la rive droite ni la rive gauche du fleuve Kongo.Il signe un Acte de Prise de possession de Ncouna qui veut dire en français "Là-Bas", le 03 Octobre 1880.
Le Sénat et la Chambre des députés ont adopté. Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit:
Article unique.- Le Président de la république est autorisé à ratifier et à faire ratifier les traités et acte conclus, le 10 Septembre 1880 et le 03 Octobre 1880, suzerain des Batékés et ses chefs, d'autre part; traité et acte dont le texte demeure annexé à la présente loi. La présente loi, délibérée et adoptée par le Sénat et par la Chambre des députés, sera exécutée comme loi de l'Etat.
    Fait à Paris, le 30 Novembre 1882.                              Jules Grevy
                             Par le Président de la République:
          Le Président du Conseil, Ministre des Affaires Etrangères
                                              C. Duclerc
La question que Sa Majesté le Roi DJAKA 1er pose en 2015 aux historiens français: pourquoi ce pays porte le nom de république française au Kongo capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire?
 Ainsi donc, 1882 date de départ de l'étude correspond à la Loi française, celle du 16 Mars 1882 sur l'administration de l'armée française appliquée de manière extensive sur le royaume GONDI.
Le 26 Février 1885 c'est le déclenchement de la Première guerre mondiale à Mbirou-DJAKA.
Le  27 Avril 1886: Monsieur Brazza est nommé:"Commissaire général du gouvernement de la république française dans la France au Kongo capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire.
La France au Kongo englobe quatre territoires:Tchad, Oubangui Chari (la centre de l'Afrique), le GONDI et le Gabon (unique colonie française en Afrique centrale).
4- Monsieur Sadi-Carnot: Chef de l'Etat de la France de 1887 à 1894:
  -De Brazza crée les auxiliaires de l'occupation: Miliciens et Tirailleurs.
Le recrutement se faisait par engagements volontaires et venus d'ailleurs comme les tirailleurs sénégalais, kongo, soudanais ou dahoméens,yakoma,bondjo, baya et bangala et tchadiens : missions
contrainte d'exterminer le peuple GONDI par tous les moyens à Mbirou-DJAKA, impôt de capitation, célébration du 14 Juillet 1789 en transformant les GONDI en feux d'artifice humains:une cartouche de dynamite est introduite dans l'anus de chacun d'eux, c'est ce qui s'était passé le 14  Juillet 1903 dans l'affaire Toqué-Gaud: le 14 Juillet 1903, à Mbirou-DJAKA, un administrateur des colonies, George Toqué et un commis des affaires indigènes  Fernand Gaud, décident de faire exécuter DJAKA ancien guide, en lui introduisant dans l'anus une cartouche de dynamite. Au procès, les accusés rappellent qu'ils ont déclaré avant cette action épouvantable:"ça a l'air idiot; mais ça médusera les indigènes. Si après ça ils ne se tiennent pas tranquilles!". Gaud dira à son procès qu'il voulait faire constater autour de lui l'étrangeté de cette mort:"Ni trace de coup de fusil, ni trace de coup de sagaie: c'est par une sorte de miracle qu'est mort celui qui n'avait pas voulu faire amitié avec le Blanc."(propos rapportés par Félicien Challaye, qui accompagna Brazza dans sa mission d'inspection). Ils sont condamnés à des peines légères (à cinq ans de réclusion), mais le scandale est tel qu'il conduit au lancement d'une enquête administrative, enquête dont sera chargé Brazza, et qui sera à l'origine de son dernier voyage en France au Kongo.
5-Monsieur Félix Faure: Chef de l'Etat de la France de 1895 à 1899.
 -Le 15 Janvier 1898: Monsieur Pierre Savorgnan de Brazza, Commissaire général du gouvernement français pour la France au Kongo capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe-Noire, est mis en disponibilité. Il se retire ensuite à Alger.
- Monsieur Henri De Lamothe est nommé: Commissaire général du gouvernement pour la France au Kongo, en remplacement de Monsieur De Brazza.
Le 28 Mars 1899 publication du Décret relatif au régime de la propriété foncière de la France au Kongo.(Bull.des Lois, 12° S., B.2088? n.36385.)
 TITRE 1er, - De l'immatriculation des immeubles et du titre de propriété.
        Chapitre 1er .- Objet de l'immatriculation.
      Art.1er. Les immeubles appartenant dans la France au Kongo à des Européens et descendants d'Européens ou à des indigènes naturalisés français seront seuls soumis aux dispositions du présent décret.
2. Les biens appartenant aux indigènes sont régis par les coutumes et usages locaux pour tout ce qui concerne leur acquisition, leur conservation et leur transmission.etc......
La France au Kongo comprend: le Tchad, l'Oubangui Chari, le royaume GONDI et le Gabon et les capitale sont: Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire..
"En Janvier 1898,Brazza est écarté et placé dans la situation de mise en disponibilité. Marchand et ses officiers (Baratier,Mangin,Largeau fils, futur fondateur du Tchad, etc...) l'ont déclaré responsable du retard de la mission Kongo Nil. Marchand décrit la colonie de la France au Kongo géré par Brazza comme un"marécage puant" dirigé par des"gloires en baudruche".
Jean Victor Largeau, explorateur du Sahara et du Kongo et administrateur de Loango et dépendances sous les ordres de Brazza, dans ses correspondances fit un portrait peu flatteur de Brazza, le surnommant"farniente" compte tenu de sa propension à circuler en hamac porté par des noirs et de son absence de décision. "Le désordre que l'on remarque autour de lui, le débraillé de sa tenue, sont les répercussions de son état intellectuel, il n'a aucun plan arrêté, change d'idées 20 fois par jour et le moment d'agir venu, cède à l'impulsion de ce moment -là. Le même désordre règne dans toutes les branches du service: le gaspillage est épouvantable:on va de l'avant parce que le Ministère l'exige, mais sans rien organiser" (lettre du 5 Novembre 1891 à son fils)
6- Monsieur Emile Loubet: Chef de l'Etat de la France:1899 à 1906
- Le Président Emile Loubet, d'accord en cela avec M. Clémentel, alors ministre des colonies, avait proposé à M. Brazza de prendre la direction de l'enquête à faire et de se rendre sur les lieux, afin de l'opérer. Brazza partit le 5 Avril 1905. L'accueil à DJAKA II par le Commissaire général Emile Gentil. Un banquet lui était offert auquel assistaient les hauts personnages de la capitale de la France au Kongo.
A Mbirou-DJAKA, il rencontra, dans la brousse, un établissement dont l'accueil lui parut suspect, par certains indices dont il était le seul à pouvoir, à cause de son expérience de criminel, il saisit la signification. Ses investigations lui permirent alors de découvrir un camp assez éloigné dans lequel on avait pris la précaution d'enchaîner les Gondi.
Atteint depuis quelque temps d'une dysenterie qui allait s'aggravant et malgré les soins dévoués dont le docteur Cureau , lorsque le malade  fut débarqué à Dakar ,peu de jours après, le 14 Septembre 1905, il s'éteignit à six heures du soir.
Les obsèques nationales de Brazza furent fixées le Mardi 03 Octobre 1905 à Paris.Il fut inhumé au cimetière parisien du Père-Lachaise. Les funérailles nationales eurent lieu et voici les discours des quatre orateurs après le trajet du cortège funèbre de l'église Sainte -Clotilde au cimetière le Père-Lachaise:
- Le premier à prendre la parole fut Mr Clémentel: "L'exorde de son magnifique panégyrique débutait ainsi: Messieurs,
"La tristesse qui pèse sur nous, le deuil de la nation, les passions même qui sont venues battre ce cercueil attestent la grandeur de l'homme qui vient de disparaître.
" Ceux qui, comme lui, donnèrent leur intelligence, leur cœur, offrirent leur vie même à la gloire de la grande France, ceux qui frissonnèrent de la fièvre de notre épopée africaine, sentent le vide que creuse cette mort soudaine et prématurée. Mais leur douleur est sereine et leur regret résigné. Brazza n'est pas mort tout entier, sa pensée survit au milieu d'eux; s'il n'est plus le chef, il est devenu l'exemple; et, consacré par sa fin tragique, son rêve d'hier reste l'idéal de demain."
"Pour nous, nous ne doutons point. Ton grand exemple, Brazza, a été suivi par les disciples et par tes émules: il nous défend de désespérer jamais des traditions éternelles de justice et d'humanité qui sont la gloire de la France."
- Le second à prendre la parole à la tribune est Mr Paul Deschanel qui parla au nom de la Commission des Affaires extérieures et coloniales de la Chambre des députés.
Dans un long historique, il retrace la vie de Brazza et fait l'éloge du grand homme et de son oeuvre, en des termes où l'élégance de la forme s'ajoute à l'expression de sentiments d'admiration et termine par cette dernière phrase de péroraison:
"Cher Brazza, tu as donné ton âme brûlante et superbe à la plus adorable patrie qui ait paru sous le ciel; tu as reculé ses frontières en étendant la puissance de son génie, tu as été un grand ouvrier d'idéal et de justice."
- C'était le tour de Mr Le Myre de Vilers: il parlait au nom de la Société de Géographie de Paris.
"Trois noms synthétisent la pénétration du continent noir," et il cite Livingstone, Stanley et Brazza, comparant les caractères des trois individualités:
"Chacun de ces conducteurs d'hommes s'inspira de principes différents: la foi religieuse -la volonté-l'humanité; tous les trois s'immortalisèrent."
"Puis l'orateur, après avoir dit combien cette mort mettait en deuil les explorateurs, les coloniaux et la Société de Géographie de Paris, cite la lettre de condoléances qu'il a reçue du Président de la Royal Geographical Society de London; il termine par ces mots:
"Adieu, Brazza. Reposez en paix; vous avez glorieusement accompli votre tâche et servi votre patrie d'adoption."
- Enfin c'est le tour de Mr Charles Dechavannes de prendre la parole:
"Messieurs,
" Au milieu de toutes ces pompes, après tous ces discours, c'est l'humble voix d'un ami qui s'élève, émue et troublée, pour apporter au cher disparu son tribut de regrets.
"Durant les longues années pendant lesquelles j'ai connu Brazza, comme chef aimé et comme ami, il ne cessa de me dire que cette terre d'Afrique aurait finalement sa vie. La triste prophétie vient de s'accomplir.
"La France saura se souvenir un jour, j'espère, longtemps encore après les honneurs d'aujourd'hui, que Brazza consacra à son service tout ce qu'il avait d'intelligence, tout ce qu'il avait de fortune et lui donna sa vie jusqu'au dernier souffle.......
" Adieu, Brazza. Adieu au nom de ceux à qui tu montras, jusqu'au bout, le chemin des grands devoirs, adieu au nom de ceux à qui tu donnas si simplement l'exemple touchant de ta vie; adieu, Pierre, au nom de tes amis. Dors en paix et que, sur l'auréole de gloire où déjà se détache ta grande figure, vienne s'estomper, calme et douce, une image de la Bonté."
(1)Quelques rares adversaires de Brazza avaient, paraît-il, tenté de s'opposer à l'octroi des funérailles nationales.
Pourquoi cette opposition en France, se pose la question de savoir Sa Majesté le Roi DJAKA 1er  aux illustres Historiens français?
Pourquoi Brazza le 03 Octobre 1905, l'inhumation du corps de Brazza avait lieu dans un caveau provisoire?
Pourquoi trois ans après, donc en 1908, le corps de Brazza a été exhumé du cimetière du Père-Lachaise, et transféré à Alger (Algérie) et inhumé au cimetière chrétien des Brus, dans le quartier populaire d'El Madagna et puis sous la Présidence de la France au Kongo capitale Paris,Libreville, Brazzaville et Pointe Noire de Jacques Chirac: les restes mortels de Brazza,de son épouse Thérèse de Chambrum originaire de la Lozère, de ses quatre enfants(Jacques Adolfe de Brazza, Marthe Borash Savorgnan de Brazza, Antoine Conrad Savorgnan de Brazza et Charles Savorgnan de Brazza ont été transférés à DJAKA II,  le Lundi 02 Octobre 2006. Et le peuple GONDI a été assigné à verser une somme de 500.000 Euros par mois depuis cette date aux descendants de Brazza sous la houlette d'une arrière-petite-nièce de Brazza,Idanna Pucci di Barsento.
7- Monsieur Armand Fallières:Chef de l'Etat de la France de 1906 à 1913.
      - Création le 15 Janvier 1910 du Gouvernement de la France en Afrique équatoriale capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire regroupant les territoires du GONDI, du Tchad,de l'Oubangui Chari, et du Gabon.
8-Monsieur Raymond Poincaré: Chef de l'Etat de la France de 1913 à 1920.
- Création de la fonction de Gouverneur général de la France en Afrique équatoriale et le premier à occuper cette fonction est Mr Victor Augagneur jusqu'en 1924 .
9- Messieurs Paul Deschanel (Février-Septembre 1920), Alexandre Millerand 1920-1924 et Gaston Doumergue 1924-1931. Tous Présidents de la France capitale Paris,Libreville,Brazzaville et Pointe Noire.
-1924 Mr Raphaël Antonetti est nommé: Gouverneur général de la France en Afrique équatoriale, en remplacement de Mr Victor Augagneur
10-Messieurs Paul Doumer 1931-1932 et AlbertLebrun 1932-1940 :Présidents de la France en Afrique équatoriale capitale Paris,Libreville,Brazzaville et Pointe Noire.
  - Mr Charles de Gaulle ,le 6 Juin 1940, est nommé: Sous-Secrétaire d'Etat à la Défense nationale française. Le 18 Juin 1940, il lance son premier appel aux Français à partir de London (en Angleterre) les invitant à continuer la lutte à ses côtés. C'est pourquoi
- Les 26-27 et 28 Août 1940 - Le Tchad, le GONDI et l'Oubangui-Chari se rallient successivement à la France libre en Afrique équatoriale  capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire.
- Le Gabon ne s'attachera à la France libre en Afrique équatoriale que le 10 Novembre 1940 ,après une résistance plus ou moins acharnée.

D- Naissance de l'Etat Français sous occupation Allemande depuis 1939-1945.
  1- Monsieur Philippe Pétain 1940-1944 : Chef de l'Etat de la France sous -occupation allemande:
      - Malgré l'occupation l'Etat souverain français est resté tel, comme l'est depuis 1872 l'Etat indépendant GONDI sous le régime de la Monarchie constitutionnelle et je suis Roi depuis l'âge de 2 ans. 
      - Le 12 Novembre 1940: Mr Félix Eboué est nommé : "Gouverneur général" de la France Libre en Afrique équatoriale. Mr Félix Eboué est Administrateur français de race noire. Il est né en 1884 à Cayenne, capitale de Guyane française (Pays situé en Amérique du Sud). Il trouvera la mort en 1944 au Caire (en Egypte) et ses restes mortels sont placés au Panthéon. Le 20 Novembre 1941: Publication d'un Arrêté du Gouverneur général de la France libre en Afrique équatoriale, précisant les limites des Départements de la France libre au Moyen Kongo et au Gabon.

E-Gouvernement provisoire de la République française 
   1- Monsieur Charles de Gaulle 1944-1946 : Chef du gouvernement de la France libre en Afrique équatoriale capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire. Création d'Elf Aquitaine, née d'une volonté, celle d'assurer à la France dépourvue d'hydrocarbures, son indépendance énergétique. Cette ambition se confond presque tout entière avec un nom, celui de Mr Pierre Guillaumat. Le fils du général Louis-Adolphe Guillaumat, ministre de la guerre en 1926, fut frappé par l'attitude de la Standard Oil de John D. Rockefeller qui, au beau milieu de la Première Guerre Mondiale, coupa les approvisionnements à l'armée française. Cette mémoire familiale lui fera la mesure de la dépendance de la France à l'égard de cette matière première stratégique.
Actif dans les services de renseignements de la France libre en Afrique équatoriale capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire lors de la Seconde Guerre Mondiale, Pierre Guillaumat se voit chargé par le général de Gaulle, dès Décembre 1944, de la Direction des carburants.Tel un "moine soldat", il va se battre pour l'indépendance énergétique de la France grâce au pétrole de l'empire. Le 12 Octobre 1945, suite à sa suggestion, de Gaulle crée le Bureau de recherches pétrolières (BRP) et lui en confie la direction. Guillaumat y fait venir ses hommes, qui s'activeront dans les colonies comme l'Algérie et le Gabon et le territoire Gondi qu'elle occupe depuis 1872, pour y rechercher et y exploiter des gisements de pétrole. Vingt plus tard, en 1965, cette initiative donne naissance à l'Entreprise de recherches et d'activités pétrolières (ERAP), entreprise publique également présidée par Pierre Guillaumat et qui deviendra ELF-ERAP, puis ELF Aquitaine en 1976 (après sa fusion avec la Société nationale des pétroles d'Aquitaine). Mais dans l'esprit du général de Gaulle comme dans celui du premier patron d'ELF, qu'il dirigea jusqu'en 1977, le projet allait bien au-delà de la seule indépendance énergétique de la France. Ainsi les attentes du mouvement gaulliste, le RPR et l'UMP:1)- constituer un "véritable bras séculier d'Etat, en particulier en Afrique"; 2)- créer" une sorte de ministère du pétrole inamovible assurant l'approvisionnement de la France , puisque le pétrole algérien n'était géré par les français que jusqu'en 1971"; 3)- disposer d'une sorte d'officine de renseignement dans les pays pétroliers comme le GONDI.
   2- Félix Gouin, Georges Bidault,
       Léon Blum 1946-1947
F- Naissance de la IVe République française
    1- Vincent Auriol 1947-1954: Chef de l'Etat de la France libre au Moyen Kongo capitale Paris, Libreville,Brazzaville et Pointe Noire qui devient en 1950: la capitale administrative abritant: le Gouverneur Chef du Territoire, l'Assemblée territoriale et tous les Services administratifs.
    2- Mr René Coty 1954-1959:Chef de l'Etat de la France libre au Moyen Kongo capitale Paris,Libreville, Brazzaville et Pointe Noire
        -Le 20 Janvier 1955: Création en France libre au Moyen Kongo capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire d'un Institut d'Emission de la France libre en Afrique équatoriale et du Cameroun colonie allemande par Décret n°55-104 du 20-1- 1955.
- L'Institut qui n'entrera en fonction qu'à compter du 1er Octobre 1955, assurera l'émission des billets de Banque en France libre en Afrique équatoriale. Elle n'aura le privilège d'émettre des monnaies métalliques qu'à partir du 24 Février 1957.
- Au départ, le service de l'émission des billets de Banque dans les Colonies françaises d'Afrique, était d'abord assuré par une Banque privée du Sénégal (qui avait fonctionné de 1855 à 1901) puis par la "Banque d'Afrique Occidentale" (B.A.O) créée en 1901.
- Pendant la 2ème Guerre Mondiale, avec le ralliement de la France en Afrique équatoriale,et du Cameroun à la France libre du Moyen Kongo, l'émission des billets était maintenant confiée à la "Caisse Centrale" de la France libre, devenue la France d'Outre Mer puis, quelque temps après, "Caisse Centrale de Coopération Economique". Mais entre-temps, plusieurs billets d'origines diverses circulaient en France d'Afrique équatoriale et au Cameroun, notamment les billets B.A.O et les bons émis par le Gouverneur général de la France en Afrique équatoriale. Pour y mettre un peu d'ordre, la France en Afrique équatoriale et le Cameroun étaient rattachés un moment à la zone "Sterling" par "l'Accord Franco-Anglais" du 19 Mars 1941. Ceci avait duré jusqu'en 1943, date à laquelle, le franc d'Afrique équatoriale quittait la zone Sterling pour être géré par une Caisse Centrale. A partir de 1945, le "Franc C.F.A." était créé: il signifiait:"Franc des Colonies Françaises d'Afrique". Or aujourd'hui quand on voit des pays comme le Cameroun ancienne colonie allemande, la Guinée équatoriale ancienne colonie espagnole, le Tchad ancienne colonie belge, le GONDI ancienne colonie belge, l'Oubangui Chari ancienne colonie belge, le Zaïre ancienne colonie belge ,donc toute l'Afrique centrale devient une colonie française. Il faut noter une chose : en Afrique centrale le royaume GONDI capitale DJAKA avait  sa monnaie utilisée par les français dans le commerce de l'ivoire et du caoutchouc avec les arabes.                                                 Voici les anciennes monnaies  GONDI:
Nom                    Minerai                Poids                    Valeur
Kokolo                   Fer                20 grammes            1/2 franc
                                                                               (50 centimes)
Embondo          Cuivre (rouge)     300 gr.                   1/4 franc
                                                                               (75 centimes)
Moteka              Cuivre (rouge)    50 grammes            1 franc
Bondzele           Cuivre (rouge)    150 grammes         2 1/2 francs
(Moke)=petit
Mboti                 Cuivre (jaune)     400 gr                   3 francs
Bondzele            Cuivre (rouge)     200 gr                   5 francs 
(Monene)= grand
Monzoko             Cuivre (rouge)    400 gr                  10 francs
(Moke)= petit
Monzoko              Cuivre (rouge)    600 gr                  20 francs
 (Monene)= grand
Ekima                     Cuivre (jaune)       2 kgs               500 francs
Nzoundo                 Fer                         4 kgs               500 francs

Le peuple GONDI est un peuple afro -hindou venant du Gondwana.

Toujours sous la Présidence de Mr René Coty, donc la IVe République française, le 23 Juin 1956 c'est la promulgation de la Loi n°- 56- 619 du 23-6-1956 autorisant le Gouvernement français à mettre en oeuvre les réformes et à prendre les mesures propres à assumer l'évolution des territoires relevant du Ministère de la France d'Outre-Mer( qui n'existe pas).
- Il s'agit de la "Loi Cadre" de Gaston Déferre (Administrateur français), reconnaissant une autonomie partielle aux Etats Africains et de Madagascar: c'est l'Africanisation des Cadres et la création dans chaque Territoire, d'un Conseil de Gouvernement.
Ainsi au lieu d'un conseil du gouvernement chez les Gondi, pour les africains c'est le 14 Mai 1957 que naîtra le" Conseil du Gouvernement" au Moyen Kongo. Et le général de Gaulle devient le Président du Conseil du Gouvernement du Moyen Kongo. Un rappel historique semble nécessaire au stade de l'information sur la falsification de l'histoire du peuple GONDI. Dans le cadre de la colonisation pour éviter les problèmes entre les explorateurs, car la pénétration dans les territoires africains se faisait par l'embouchure de chaque fleuve. Le fleuve Kongo comme d'autres fleuves étaient divisés en trois parties: le Bas, le Moyen et  le Haut . Pour le fleuve Kongo nous avons: le Bas Kongo, le Moyen Kongo et le Haut Kongo exploré pour le Roi Léopold II par Henry Morton Stanley.
  
La Constitution  française du 4 Octobre 1958: 
  Un projet de Constitution a été soumis à l'approbation des hommes politiques africains en France.
   - En Juillet 1958: Une Conférence va se tenir au Palais de Chaillot et de celle -ci le constat était que " tous les pays africains qui vont adhérer à la Communauté Franco -Africaine ne seront jamais indépendants". Les Conférenciers vont désigner Mr Sékou Touré comme porte-parole auprès du Général de Gaulle, pour lui signifier d'ouvrir une porte pour les générations futures d'accéder à l'indépendance de leurs pays si elles le désirent;
   - Le 24 Août 1958: Le Général de Gaulle prononce un discours au Stade Éboué de Brazzaville, au cours duquel, il propose à tous les Territoires Africains sous domination française, de former avec la France une "Communauté Franco-Africaine".
Monsieur Sékou Touré profite de l'occasion pour transmettre à de Gaulle les conclusions de la Conférence de Chaillot. Mais le général de Gaulle reste ferme;"C'est à prendre ou à laisser".
    - Le 25 Août 1958, De Gaulle est reçu à Conakry et Sékou Touré en profite pour réitérer les souhaits des Conférenciers.De Gaulle reste ferme sur sa décision de ne rien modifier. Quant à Sékou Touré , il signifie à de Gaulle "que si les autres votent OUI, au Référendum du 28 Septembre 1958, la Guinée va voter NON, car le peuple Guinéen préfère la liberté dans la pauvreté que l'opulence dans l'esclavage"
    - Le 28 Septembre 1958: la Guinée vote NON au Référendum organisé par le Gouvernement français;tandis que l'Oubangui Chari vote OUI au même Référendum organisé par Gouvernement français: voici le texte en Sango :
          "REFERENDUM du 28 Septembre 1958,
                        MESAN
" Azo ti sese ti Bangui kwe e gue ti voter le 28 Septembre
E yeke voter "OUI" tene ti nie?
              Tene ti so:
Mbi tene na de Gaulle                                   de Gaulle atene na mbi
Zo kwe zo                                                          OUI, mbi ye da
Zo vuko ayeke zo                                              OUI, mbi ye da
Zo vuko ayeke ngba pepe                                  OUI, mbi ye da
Zo vuko ayeke ita ti mo                                     OUI, mbi ye da
Sesse so ayeke ti commande sese ti ala             OUI, mbi ye da
Zo vuko aye pika mbeni pepe                            OUI, mbi ye da
Zo vuko aye chicotte mbeni pepe                       OUI, mbi ye da
Zo vuko aye RPF mbeni pepe                             OUI, mbi ye da
Zo vuko aye Turugu na yaka pepe                      OUI, mbi ye da
Zo vuko aye Turugu na ndoki kodro pepe           OUI, mbi ye da
Mo signé tene ti e na mo na mbeti                       OUI, mbi ye da
Mu mbeti ni mbi ba                                              OUI, Article 86
Mbi Boganda, mbi tene indépendance    Mbi de Gaulle,mbi tene                                                                                      indépendance
Mbi Boganda, mbi ili mo ita                    Mbi de Gaulle, mbi ili mo                                                                                  ita
Mbi Boganda,mbi yeke voté OUI             Mbi de Gaulle, mbi                                                                             tene:Zo kwe zo
          Président:Barthélemy Boganda
      
                   République Française
               Liberté-Egalité-Fraternité
                     REFERENDUM
         Institué par la Loi constitutionnelle du 3 Juin 1958
                                    OUI
    En Août 1958 à Brazzaville, Boganda au nom de toute la France en Afrique équatoriale accueillait le général de Gaulle en ces termes:"Nous sommes convaincus que vous êtes venu aujourd'hui pour achever l'oeuvre entreprise à la conférence de Brazzaville et consacrer définitivement par un engagement solennel une France en Afrique équatoriale en marche vers son indépendance, mais toujours unie à la France indépendante et immortelle...Monsieur le Président, parlez sans équivoque, nous répondrons de même le 28 Septembre 1958"
      Le 28 Septembre 1958 l'Oubangui-Chari acceptait la Constitution française du 4 Octobre 1958 et choisissait ainsi la communauté par 487.031 voix (98,1%) contre 6.085.
      Boganda allait se battre pour l'unité. Avec une grande lucidité il affirmait qu'aucun des territoires de la France en Afrique équatoriale ne pouvait constituer un Etat viable. Il préconisait un "Etat unique, un gouvernement unique" et il ajoutait:" le tribalisme et la balkanisation de l'Afrique seraient un crime contre la race noire."
     La Mort de Boganda: C'est au cours de la campagne électorale pour ces élections que le fondateur de la République de l'Oubangui Chari  (centrafricaine) devait trouver une mort tragique. Le 29 Mars 1959, jour de Pâques, l'avion régulier Nord-Atlas de la Compagnie UAT, sur lequel il avait pris place pour rentrer de Berbérati à Bangui, s'écrasait non loin de la Lobaye.
    Le 13 Août 1960, André Malraux, au nom du gouvernement français, signait à Bangui les accords d'indépendance et de coopération, en présence du Secrétaire d'Etat Jean Foyer, du haut-Commissaire général à Brazzaville, Yvon Bourges et du haut-Commissaire à Bangui, Paul Bordier.

Le 7 Octobre 1958 en votant NON la Guinée obtient son indépendance et la République de Guinée capitale Conakry est proclamée.
 - En France,la Constitution de la Vème République française soumise à l'assentiment du peuple français par Référendum du 28 Septembre 1958, a été approuvée pour la métropole :
  par: 17.668.790 voix (79,2% des suffrages exprimés);
  contre: 4.624. 511 (20,8% des suffrages exprimés);
  sur: 22.596.850 votants;
   et: 26.603.464 inscrits;
Et pour les départements et territoires français d'outre-mer:
   par: 31.066.502 voix (85,1 % des suffrages exprimés);
   contre: 5.419.749 (14,9% des suffrages exprimés);
   sur: 36.893.979 votants;
   et: 45.840.642 inscrits;
Elle a été promulguée le 4 Octobre 1958 et publiée au "Journal officiel" français du 5 Octobre 1958.
S'en est suivie alors la proclamation des Républiques en Afrique à l' exception de la Guinée Conakry ainsi qu'il suit:
     14 Octobre 1958: Proclamation de la République Malgache;
     25 Novembre 1958: Proclamation de la République du Mali;
     28 Novembre 1958: Proclamation des Républiques du Tchad, du Gabon, de la Mauritanie et de la France au Kongo;
     1er Décembre 1958: Proclamation de la République de l'Oubangui Chari qui devient République Centrafricaine;
     9 Décembre 1958: Proclamation des Républiques de Côte d'Ivoire et du Dahomey (l'actuel Bénin);
     11 Décembre 1958 : Proclamation de la République de Haute Volta (l'actuel Burkina Faso);
     19 Décembre 1958: Proclamation de la République du Niger.
Ainsi est née la Communauté Franco-Africaine fondée sur l'égalité et la solidarité des peuple d'Afrique et de la France qui la composent. Et en vertu des principes de la souveraineté nationale tels qu'ils ont été définis par la Déclaration des Droits de l'homme de 1789, laFrance a promis offrir aux territoires d'Afrique qui ont manifesté la volonté d'y adhérer des Institutions nouvelles fondées sur l'idéal commun de liberté, d'égalité et de fraternité, et conçues en vue de leur évolution démocratique.
 - Au Royaume GONDI capitale DJAKA ancienne colonie belge sous occupation de la France, baptisé " la France au Kongo". En effet, Le 28 Novembre 1958,le Président de l'Assemblée territoriale, le Français Christian Jayle; proclame la République de la France au Kongo, mettant ainsi fin autatut de "Territoire de la France au Moyen Kongo" capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire. Voici les discours de Mr Christan Jayle et du Gouverneur P.CH.Dériaud:
" Le 28 Novembre 1958, à 11h30: Messieurs, en vertu des pouvoirs donnés à notre Assemblée par l'article 76 de la Constitution française, j'ai l'honneur de proclamer que le Territoire de la France au Moyen Kongo manifeste sa volonté de devenir un Etat membre de la Communauté Franco-Africaine. Cet Etat autonome prend le nom de la République de la France au Kongo". Telle est la proclamation faite par Christian Jayle, Président de l'Assemblée territoriale de la France au Moyen Kongo.
 -A l'issue du vote à l'Assemblée, territoriale, le Gouverneur,P.CH.
Dériaud, félicita les élus français, en ces termes:" Cet acte vous a conduits à prendre, par votre Délibération numéro 112/58, dans la pleine conscience de la responsabilité que vous avez de vos devoirs de représentants élus, l'option qui fait de la France au Moyen Kongo un nouvel Etat de la Communauté Franco-Africaine. Vous venez de donner ainsi à la partie "congolaise" l'indépendance véritable des ses fils, celle qui permettra, dans l'assurance de la solidarité efficiente et fraternelle de la Communauté, de consacrer la volonté ardente de servir, qui anime les élites politiques du pays, aux aspirations profondes de ses masses vers l'amélioration de la condition humaine".                                                                                  Voici la Délibération n°112/58 du 28 Novembre 1958 qui stipule:
Article 1er: Le Territoire de la France au Moyen Kongo manifeste sa volonté de devenir un Etat membre de la Communauté créée par la Constitution française du 4 Octobre 1958.
Article 2: L'Etat autonome de la France au Moyen Kongo prend le nom de la République de la France au Kongo.
  
LA Constitution française du 4 Octobre 1958, en pleine IVe République Française capitale Paris et dont le Chef de l'Etat est Mr René Coty se greffe la République française au Kongo capitale Paris,Libreville, Brazzaville et Pointe Noire et le Chef de l'Etat devient Mr Charles de Gaulle qui était le Président du Conseil du Gouvernement de la France au Moyen Kongo et nomme comme Vice -Président Mr Jacques Opangault (un Mbochi honnête).
  
G- Naissance de la Ve République française:

    1- Mr Charles de Gaulle : Chef de l'Etat à la fois de la République française capitale Paris et Chef de l'Etat de la République française au Kongo capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire de 1959 à 1969. Il nomme sur place en Afrique sur le territoire Gondi baptisé la France au Kongo, Mr Fulbert Youlou (un kongo), Premier Ministre.
 A partir du 21 Novembre 1959, de Gaulle publie la Loi Constitutionnelle française n°11 du 21-11-1959 relative à la création de la fonction provisoire de la Présidence bis de la République de la France au Kongo. Mr Youlou  Fulbert devient Président bis de la France au Kongo. Puis d'autres Kongo vont le succéder notamment: Mr Alphonse Massamba -Debat (un Kongo); Mr Augustin Poignet; Mr Alfred Raoul (un Kongo) ; Mr Marien Ngouabi (un Kouyou); Mr Joachim Yhombi-Opango (un Kouyou); Mr Pascal Lissouba (un Bembé) et Mr Déni Sassou Nguesso (un Mbochi). Ils sont tous considérés comme Chargés de Mission donc des Collaborateurs de l'occupant français.
  De Gaulle proclame la Libération du peuple GONDI, le 15 Août 1960 et le 20 Septembre 1960, le Royaume GONDI est admis comme membre à part entière de l'Organisation des Nations Unies
   
  2- Mr Georges Pompidou:Chef de l'Etat de la République française capitale Paris:  de 1969 à 1974.
   
   3- Mr Valéry Giscard d'Estaing: Chef  de l'Etat de la République française capitale Paris: de 1974 à 1981.
    
   4- Mr François Mitterrand: Chef de l'Etat de la République française capitale Paris: de  1981 à 1995.
   
    5- Mr Jacques Chirac: Chef de l'Etat de la République française capitale Paris: de 1995 à 2007et Chef de l'Etat de la République française au Kongo capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire: de 1969                 à 2007.
 Mr Jacques Chirac nomme sur le Territoire GONDI capitale DJAKA, Mr Dénis Sassou Nguesso (un Mbochi) comme Président bis de la République française au Kongo capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire. Il signe avec ce dernier le Pacte de Corruption:"Le Protocole Guillaumat" avec trois mécanismes dstincts pour le pillage du pétrole GONDI: les "Bonus" versés dans la phase exploratoire de la recherche pétrolière, jusqu'à plusieurs dizaines de millions de dollars par an; les "Abonnements" soit la part prélevée sur chaque baril et les "Préfinancements", prêts gagés sur la production à venir, avec la caution d'Elf puis de Total,sur lesquels sont prélévés de 1 à 3 % de commissions en jouant sur des différentiels de taux d'intérêts. Ils vont procéder à la construction du Mémorial du terroriste, djihadiste, génocidaire et esclavagiste Pierre Savorgnan de Brazza à plus de dix millards d'euros du peuple GONDI. Ainsi les restes mortels du Terroriste Brazza(1952-1905), son épouse Mme Pineton de Chambrum Marie V de Savorgnan de Brazza(1860-1948) et de ses quatre enfants: de Brazza Jacques Adolphe Antoine(1898-1903);Savorgnan de Brazza Charles(1901-1962); Savorgnan de Brazza Antoine Conrad(1900-1947); Savorgnan de Brazza Marthe Ep.Borashi(1903-1948) ont été transférés du cimetière chrétien des Brus, dans le quartier populaire d'El Madagna, exhumés le Samedi 30 Septembre 2006 à Alger, du caveau familial et le Lundi 2 Octobre 2006 à Brazzaville l'une des capitales de la République française au Kongo. Depuis cette date le peuple GONDI a été assigné à verser aux Descendants de Brazza  sous la houlette d'une arrière-nièce, Idanna Pucci di Barsento d'une somme de  500.000 euros par mois, sous astreinte d'assurer le rapatriement au frais du peuple GONDI,vers l'Italie des restes de Brazza, de son épouse et de ses quatre enfants.
      Paris, ce Jeudi le 29 Avril 2010
- La France, coupable de la Misère des GONDI?
           Les aveux tardifs de Jacques Chirac
La misère, les guerres, les échecs que vivent les GONDI résulteraient d'un complot monté depuis de longues dates par l'ex-puissance d'occupation.
L'ancien Président de la République française au Kongo capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire, débarrassé aujourd'hui de tout droit de réserve, confesse avant ses derniers jours tout le mal que son pays fait en Afrique et, partant au Royaume GONDI capitale DJAKA.
   Dans un documentaire intitulé Africaphonie et décrypté par les journalistes d'AfriquEducation, Mr Jacques Chirac évoque avec remords, le fait qu' "une grande partie de l'argent présent dans le porte-monnaie des Français vient de l'exploitation de l'Afrique qui dure depuis des siècles". Et de poursuivre plus loin:" il faut avoir du bon sens, de justice pour rendre aux Africains (donc aux GONDI) ce qu'on leur a pris d'autant que c'est nécessaire, si l'on peut éviter les pires convulsions ou difficultés avec les conséquences politiques que ça comporte".
  
6- Mr Nicolas Sarkozy: Chef de l'Etat de la République française capitale Paris: de 2007 à 2012 et Chef de l'Etat de la République française au Kongo capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire: de 2007 à nos jours 2015.
Mr Nicolas Sarkozy, français d'origine hongroise, choisit comme Président bis une fois de plus Mr Denis Sassou Nguesso (un Mbochi tel qu'avait décrit l' administrateur de l'occupation du territoire GONDI par la France Mr Ponel: Pombo (bas Alima), le 30 Juin 1885,                                                                                              -Rapport de Ponel à Dufourcq; étude détaillée des Mbochi: le pays, la vie économique et sociale,mœurs et religion. (MOA- VII. Autographe). Il faut se rappeler une fois de plus pour une bonne compréhension que les Mbochi sont venus se réfugier sur le territoire GONDI en 1750, les Mbochi sont rattachés au groupe ethnique" Mongo "de Mbandaka (ancienne Coquilhatville). Les Mbochi viennent donc de la République démocratique du "Kongo". Les Mbochi ne sont pas des Congolais. Voici l'extrait du Rapport:
"Je me trouvai en possession du poste de Pombo(bas Alima), le 5 Mai 1885, dans des conditions peu favorables pour un début. Quatre jours auparavant, mon prédécesseur Froment avait eu des difficultés sérieuses avec les Mbochi, en aval de l'Alima. J'arrivai en plein palabre, mal renseigné, ne connaissant rien du caractère des Mbochi mais décidé, suivant les instructions reçues, à agir avec douceur en mettant toute la modération possible dans mes rapports avec eux.
Je me mis donc en rapport avec les chefs amis, N'Gankosso, sur le territoire duquel est construit le poste, et Elinza, chef moins important du pays de Pombo. Je parvins à grand peine à me faire expliquer l'affaire et à démêler la vérité dans tous les récits imagés que me firent les chefs et les hommes du poste. Enfin, je pus les décider à faire une démarche tendant à rassembler les chefs Henguy, Barodonga, N'Gatché Igari et à faire palabre pour terminer amiablement cette malheureuse affaire. Je subis un échec presque complet. Seul, N'Gatché Igari se rendit à l'invitation que je leur avais fait transmettre par leurs compatriotes. Le palabre, après avoir duré trois jours, n'aboutit à rien. Les prétentions émises, si je les eusse écoutées, me mettaient dans le cas d'un homme qui, ayant raison, ferait des excuses à son insulteur. Je laissai les choses en l'état et ne m'en occupai plus. Depuis cette époque, il n'est pas de semaine que nos alliés N'Gankosso ou Elinga ne viennent me demander mon aide pour en finir une bonne foi avec ceux du village d'Ibengué. Je suis seul au poste, il m'est difficile de me rendre à leur désir et j'attends l'arrivée de M. le commissaire du gouvernement pour en terminer.
 J'ai eu de grosses déceptions, dans les commencements, avec les Mbochi. Ce peuple est le plus sauvage que j'ai rencontré. La ruse et le mensonge sont insignifiants, ils en usent comme pour la défense de leurs intérêts les plus graves. Rebelles à tout ce qui leur semble une entrave, orgueilleux, superstitieux à l'excès, les Mbochi sont les êtres les moins sympathiques qu'il soit possible d'imaginer. Leur avidité, l'âpreté qu'ils mettent dans la conclusion des marchés en font de désagréables clients à tel point que les Bobangi ne font plus de commerce avec eux. Je les crois braves pour le genre de guerre que l'on peut faire en ce pays et adroits dans le choix du terrain et la préparation des embuscades, mais ce qui leur donne cette assurance devant nous vient surtout de leur ignorance absolue de la portée et de la justesse de nos armes à feu. Il n'y a aucun cas à faire en leur parole. J'en ai eu dix fois la preuve depuis mon arrivée au bas Alima. Ils n'ont aucune notion, même vague, de ce que nous appelons l'honnêteté, fait assez bizarre, car la note dominante de leur caractère est l'esprit de" Propriété" poussé à l'extrême, sous toutes ses formes. Ces quelques considérations me conduisent à vous soumettre mes premières études sur les Mbochi. Ponel
Revenons sur la Présidence de la République française au Kongo capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire de Mr Nicolas Sarkozy français d'origine hongroise:il nomme comme nous avons tout haut Mr Denis Sassou Nguesso (un Mbochi pur). Pour ce dernier, dans son livre "Parler vrai pour l'Afrique"; j'ai en effet connu Mr Nicolas Sarkozy, avant qu'il ne soit Président de la République de la France au Kongo capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire, alors qu'il était Ministre du Budget, puis lorsqu'il a occupé le Ministère de l'Intérieur de la République française capitale Paris. Nous entretenons aujourd'hui des rapports amicaux, je dirai même chaleureux, qui se sont davantage développés depuis sa visite officielle à Brazzaville. Celle-ci a permis un net rapprochement entre nos deux pays. On peut dire que nous sommes en totale harmonie."
"Lorsque vous entendez Nicolas Sarkozy déclarer, à Dakar en Juillet 2007, que le drame de l'Afrique c'est que l'homme africain n'est pas assez entré dans l'Histoire, reprenant ainsi les mêmes mots employés par Jules Ferry, Paul Bert et Gambetta en 1885? La réponse de Sassou fut: "Je crois que si l'homme africain n'était pas entré dans l'histoire, il n 'y aurait jamais eu les pyramides d'Egypte, n'y étaient pas! Et puis, si l'homme africain n'était pas entré dans l'histoire, on n'aurait pas découvert les très lointains ancêtres de l'homme dans l'actuel Tchad ainsi qu'à l'Est de notre continent. Tous les scientifiques s'accordent à dire aujourd'hui que le berceau de l'humanité est l'Afrique. Bref, je crois qu'il est préférable de tourner cette page. Plus personne en France ne défend une thèse de ce genre! D'ailleurs, lors de sa visite à Brazzaville, le Président de la France au Kongo a fait une déclaration, devant notre Parlement réuni en Congrès, qui a été très appréciée, tout comme l'avait été celle prononcée au Cap. L'une et l'autre ont, comme l'on dit, "remis les pendules à l'heure". Mais quand le journaliste pose cette question sur l'esclavage qu'il pratique:
"Dans son discours de Dakar toujours, Nicolas Sarkozy a qualifié l'esclavage de crime contre l'humanité, et il a ajouté "Nul ne peut demander aux générations d'aujourd'hui d'expier ce crime perpétré par les générations passées. Nul ne peut demander aux fils de se repentir des fautes de leurs pères". Que pensez-vous de la repentance?
Sassou: Je n'ai pas de mal à répondre à cette question parce que j'ai déjà fait, devant l'Assemblée générale des Nations unies, à New York, une déclaration sur ce thème. C'était en 2000. J'avais alors dit que le moment était venu pour l'ONU de décréter que la traite des Noirs était un "crime contre l'humanité". Ce n'était pas, bien évidemment, pour que l'Afrique revendique des compensations ou des dédommagements quelconques, non, je souhaitais seulement qu'en ce début de nouveau millénaire, on qualifie cette sinistre page de l'histoire du monde, pour mieux la tourner.
Mr Nicolas Sarkozy reçoit Sassou à Paris. Ce dernier vient chercher la solution des réfugiés venus de Mbandaka comme lui et s'y trouve au Nord du Royaume GONDI capitale DJAKA, en 2010.
"Le Président Nicolas Sarkozy a précisé qu'il compte apporter son aide à la France au Kongo.
Comment le Président bis de la République française au Kongo capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire est nommé. Je dis bien nommé. Oui:
 Déroulement de l'élection présidentielle du 12 Juillet 2009:                       -  la Constitution congolaise du 20 Janvier 2002
            "République du Kongo capitale Brazzaville"
                         Unité- Travail- Progrès
                                 PRÉAMBULE
"Nous, Peuple Congolais:
proclamons notre ferme volonté de bâtir un Etat de droit et une Nation fraternelle et solidaire;
condamnons le coup d'Etat, l'exercice tyrannique du pouvoir et l'usage de la violence politique sous toutes ses formes, comme moyens d'accession ou de conservation du pouvoir;
adhérons aux valeurs universelles de paix, de liberté, d'égalité, de justice, de tolérance, de probité et aux vertus de dialogue, comme références cardinales de la nouvelle culture politique;
réaffirmons le caractère sacré de la vie humaine, le droit de propriété et le droit à la différence.........
   ordonnons et établissons, pour le Kongo, la présente Constitution qui énonce les principes fondamentaux de la République, définit les droits et les devoirs des citoyens et fixe les formes d'organisation et les règles de fonctionnement de l'Etat.
  
         TITRE I: DE L'ETAT ET DE LA SOUVERAINETÉ 
Article 1er:
  La République du Kongo est un Etat souverain, indivisible, laïc, social et démocratique. Sa capitale est Brazzaville.
Article 2:
  Le principe de la République est: Gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.
Article 3:
   La souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce au moyen du suffrage universel, par ses représentants élus ou par voie de référendum
   L'exercice de la souveraineté ne peut être l'oeuvre, ni d'un citoyen, ni d'une fraction du peuple.

       DÉCISION N°002-02 DE LA COUR SUPRÊME RELATIVE A LA PUBLICATION DES RÉSULTATS DU RÉFÉRENDUM CONSTITUTIONNEL:
  
La Cour suprême, siégeant en qualité de juge constitutionnel;
Vu l'Acte fondamental du 24 Octobre 1997;
Vu la Loi n°17'94 du 1er Août 1994 portant organisation et fonctionnement du Conseil constitutionnel en ses dispositions non contraires à l'Acte fondamental........
Vu la Loi n°9-2001 du 10 Décembre 2001 portant Loi électorale;
Vu le décret n°2002-1 du 2 Janvier portant convocation du corps électoral pour le référendum constitutionnel;
Vu la lettre n°0004/CONEL.COO du 4 février 2002 de Monsieur le Président de la Commission nationale d'organisation des élections transmettant à la Cour suprême, statuant en qualité de juge constitutionnel, les résultats du référendum constitutionnel du 20 Janvier 2002 ainsi que les procès-verbaux en faisant foi;
Les rapporteurs entendus;
Considérant que le dépouillement du scrutin du référendum constitutionnel organisé le 20 Janvier 2002 a donné les résultats suivants:
Région de Brazzaville:
1°/-Nombre d'inscrits:547.926
2°/-Nombre de votants:407.758
3°/-Nombre d'abstentions: 140.168
4°/-Nombre de bulletins blancs ou nuls:11.334
5°/-Nombre de OUI: 341.441
6°/-Nombre de NON:  53.544
Région de la Bouenza:
1°/-Nombre d'inscrits: 138.947
2°/-Nombre de votants: 105.023
3°/-Nombre d'abstentions: 33.924
4°/-Nombre de bulletins blancs ou nuls:7.798
5°/-Nombre de OUI : 78.146
6°/-Nombre de NON: 19.038
Région de la Cuvette
1°/-Nombre d'inscrits: 112.444
2°/-Nombre de votants: 106.755
3°/-Nombre d'abstentions: 5.689
4°/-Nombre de bulletins blancs ou nuls: 351
5°/-Nombre de OUI: 105.657
6°/-Nombre de NON:759
Région de la Cuvette-Ouest
1°/-Nombre d'inscrits: 42.372
2°/-Nombre de votants: 39.186
3°/-Nombre d'abstentions : 3.186
4°/-Nombre de bulletins blancs ou nuls:346
5°/-Nombre de OUI: 37.253
6°/-Nombre de NON: 1.004
Région du Kouilou:
1°/-Nombre d'inscrits: 348.748
2°/-Nombre de votants: 239.433
3°/-Nombre d'abstentions: 109.315
4°/-Nombre de bulletins blancs ou nuls: 9.396
5°/-Nombre de OUI: 194.025
6°/-Nombre de NON: 36.388
Région de la Lékoumou
1°/-Nombre d'inscrits: 43.237
2°/-Nombre de votants: 26.905
3°/-Nombre d'abstentions: 16.332
4°/-Nombre de bulletins blancs ou nuls:5.103
5°/-Nombre de OUI: 12.531
6°/-Nombre de NON: 9.186
Région de la Likouala
1°/-Nombre d'inscrits : 39.570
2°/-Nombre de votants : 34.941
3°/-Nombre d'abstentions:4.629
4°/-Nombre de bulletins blancs ou nuls: 100
5°/-Nombre de OUI: 34.535
6°/-Nombre de NON :  281
Région du Niari
1°/-Nombre d'inscrits : 100.011
2°/-Nombre de votants: 57.654
3°/-Nombre d'abstentions: 42.357
4°/-Nombre de bulletins blancs ou nuls:10.300
5°/-Nombre de OUI: 27.447
6°/-Nombre de NON:20;289
Région des Plateaux
1°/-Nombre d'inscrits:139.699
2°/-Nombre de votants: 134.564
3°/-Nombre d'abstentions :5.135
4°/-Nombre de bulletins blancs ou nuls:435
5°/-Nombre de OUI: 133.482
6°/-Nombre de NON: 638
Région du Pool
1°/-Nombre d'inscrits: 129.094
2°/-Nombre de votants:113.847
3°/-Nombre d'abstentions :15.247
4°/-Nombre de bulletins blancs ou nuls: 2.765
5°/-Nombre de OUI:98.343
6°/-Nombre de NON : 12.778
Région de la Sangha
1°/-Nombre d'inscrits: 59.367
2°/-Nombre de votants:52.172
3°/-Nombre d'abstentions: 7.195
4°/-Nombre de bulletins blancs ou nuls:367
5°/-Nombre de OUI: 51.095
6°/-Nombre de NON :470
   
Considérant que quelques bureaux de vote ont signalé des préoccupations purement matérielles concernant l'absence de cartes électorales, des omissions quant aux inscriptions sur les listes électorales;
Considérant, toutefois, que ces manquements n'ont aucune incidence sur les résultats;
En conséquence,
La Cour suprême, statuant en qualité de juge constitutionnel, à la majorité absolue de ses membres,
Proclame:
   
Article premier:
Le référendum constitutionnel organisé le 20 Janvier 2002 a donné les résultats suivants:
1°/- Nombre total d'électeurs inscrits sur les listes électorales: 1.701.415
2°/- Nombre total d'électeurs ayant effectivement voté: 1.318.238
3°/- Nombre total d'électeurs s'étant abstenus: 383.177
4°/- Nombre total des bulletins blancs ou nuls: 48.295
5°/- Nombre total d'électeurs s'étant prononcés pour le OUI: 1.113.955
6°/- Nombre total d'électeurs s'étant prononcés pour le NON: 154.375
  
Article 2:
Le OUI l'ayant emporté sur le NON, la Constitution du 20 Janvier 2002 est adopté et sera promulguée par le Président de la République,
  
Article 3:
La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République du Congo,
Ainsi délibéré par la Cour suprême, statuant en qualité de juge constitutionnel en sa séance du Mercredi 6 Février 2002 où siégeaient mesdames et messieurs:
Placide Lenga, Premier Président de la Cour suprême, Président:
Henri Bouka
Auguste Iloki
Jean-Pierre Mbika
Jean-Bernard Anaël Samory
Pascal Koumou
Victor Ondzie
Robert Mouteke
André Kamango
Germain Vincent Nzoala
Georges Soumbou-Tchicaya
Auguste Makaya-Bouanga
Dorothée Ouetiningue Mambani
Grégoire Nanga-Nanga
Louise Kanga
Alphonse Popossi-Manzimba
Amédée Ognimba
Lambert Ngoka, juges
Gabriel Entchia-Ebia, Procureur général
Georges Akiera
Thadée Ndayi
Michel Mvouo
Yvonne Kimbembe
Samuel Gatabatantou, avocats généraux
Assistés de maître Jean Ouissika, greffier en chef de la Cour suprême,
  
En foi de quoi, la présente décision a été signée par le Président qui l'a rendue, les rapporteurs et le greffier.
Placide Lenga, Henri Bouka, Auguste Iloki, Jean-Pierre Mbika et Jean Ouissika; ont signé.

Nous sommes le 26 Février 2015, date anniversaire des 130 ans du début de la PREMIÈRE GUERRE MONDIALE , à MBIROU-DJAKA camp de concentration et d'extermination du peuple GONDI créé par le Terroriste,  Djihadiste, Esclavagiste et Génocidaire Pierre Savorgnan de Brazza en 1872. Personne n'en parle ni en France ni en Afrique sur le territoire Gondi qui continue a porté le nom de ''Congo Brazzaville''. Voici le contenu de cette lettre ouverte:


                          LETTRE OUVERTE
- Au Président français Mr François HOLLANDE ;
- A la Chancelière allemande Mme Angela MERKEL ;
- Au Président du Conseil des Ministres italiens Mr MATTEO RENZI ;
-  Et au Roi Belge PHILIPPE.
  
Objet: EXHUMATION ET TRANSFERT DES RESTES MORTELS DES TERRORISTES ET GÉNOCIDAIRES FRANÇAIS DU ROYAUME GONDI CAPITALE DJAKA VERS LEURS PAYS D'ORIGINE: LA FRANCE, L'ITALIE, LE PORTUGAL ET LA SUISSE.
CAR LE TERRITOIRE GONDI N'EST PAS UN DÉPOSITOIRE DES RESTES MORTELS DES TERRORISTES FRANÇAIS.
    
                                Messieurs et Dame,
Au risque de recevoir dans les années ou siècles avenirs des restes mortels des terroristes du genre de Coulibaly, inhumé dans un cimetière anonyme en France pour se retrouver dans un Mémorial au Royaume GONDI capitale DJAKA, comme l'est aujourd'hui le Terroriste et Génocidaire Pierre Savorgnan de Brazza responsable du déclenchement de la Première Guerre Mondiale du 26 Février 1885 à 1920(et non 1914-1918) qui masque l'Occupation du territoire GONDI et le Génocide du peuple GONDI.
    Si je me permets en tant que Sa Majesté le Roi DJAKA 1er, Monarque, l’incarnation de la royauté GONDI et Souverain d’un Etat indépendant dès la création de l’Association internationale africaine pour l’exploration et la civilisation de l’Afrique centrale en abrégé AIA en 1876, libéré le 15 Août 1960 et admis à l'ONU le 20 Septembre 1960.
L' AIA va se transformer à la demande de la France en Association internationale du Congo (le Congo étant un nom d’emprunt du Kongo capitale Mbanza Kongo ‘’San Salvador’’ colonie portugaise en Afrique australe l’actuel Angola capitale Luanda), en abrégé AIC, puis devenir à la fin de la Conférence de Berlin le 26 Février 1885 : l’Etat indépendant du Congo (EIC).
Le royaume GONDI capitale DJAKA est une ancienne colonie Belge, sous l’appellation de Stanley Pool et occupé par la France depuis 1872, date de l’installation du Djihadiste, Terroriste, Esclavagiste et Génocidaire Pierre Savorgnan de Brazza français d’origine italienne qui avait pour Mission l’Exploration du Haut Ogooué au Gabon à partir du mois de Septembre 1875.
Le Djihadiste Brazza quitte son pays l’Italie à l’âge de 16 ans pour aller faire son Djihad en France à l’Ecole navale de Brest et termine avec le grade d’Aspirant :
-         En 1870, donc à l’âge de 18 ans, il s’engage dans les rangs de l’armée française dirigée par Louis-Napoléon Bonaparte, Prince-Président, puis Empereur des Français qui défendait le pouvoir politique du Pape de Rome sur les « Etats de l’Eglise » contre le libéralisme et l’idéal national des patriotes italiens et romains, pour le maintien de l’absolutisme et du pouvoir pontifical, alors que l’Italie venait de réaliser son unité. Les troupes françaises défendaient alors Rome contre les Italiens. Reniant sa patrie, Brazza refusant de se dire italien, mais se déclarant « Sujet du Saint Père ». Ceci par réflexe de classe et sans le moindre motif religieux car Brazza n’était pas croyant. Il fit, avec le grade d’Aspirant, la guerre de 1870-1871.
-         Puis, servant toujours à titre étranger, il s’embarque sur la « Jeanne d’Arc » et avec la compagnie de débarquement du navire, il participe à l’atroce répression de l’insurrection de Kabylie en 1871 en Algérie.
-         En 1872, attaché à la station navale de l’Atlantique Sud, il s’installe au Nord du royaume GONDI capitale DJAKA où il érige le Camp de concentration et d’extermination du peuple GONDI, appelé Mbirou-DJAKA. Il invente la transformation des victimes GONDI en ‘’Feu d’artifice humain’’, méthode qui consiste à introduire dans l’anus de chaque Gondi une cartouche de dynamite pour fêter le 14 Juillet 1789. Voilà pourquoi, malgré sa mise en disponibilité le 15 Janvier 1898, le Président de la République française Mr Emile Loubet en accord pour cela avec Mr Clémentel, alors ministre des colonies avait rappelé Brazza pour prendre la direction de l’enquête à faire sur l’affaire Toqué-Gaud qui avaient décidé d’exécuter le guide DJAKA pour célébrer la fête du 14 Juillet 1903, en introduisant dans son anus une cartouche de dynamite.                   Messieurs et Dame, l’objet de ma Lettre ouverte est de vous informer :
-          Du GENOCIDE DU PEUPLE GONDI PAR LA France, étalé sur trois siècles XIX, XX et XXI, que le monde ignore : 1872-2015;
-          De l’OCCUPATION DU ROYAUME GONDI PAR LA France, étalée sur trois siècles XIX, XX et XXI, que le monde ignore: 1872-2015;                 Après l’échec du traité Anglo–Portugais conclu le 26 Février 1884, le Chancelier allemand Bismarck invita, le 17 Avril 1884, Paris à se joindre à lui pour aplanir les difficultés par un  accord général : pour éviter une Guerre entre les Nations européennes. La France boycotte la Conférence de Berlin, en organisant une conférence bis de Berlin au Quai d’Orsay à Paris avec l’Association internationale africaine pour l’exploration et la civilisation de l’Afrique centrale entre les 23 Décembre 1884 et  le 5 Février 1885 : donnant naissance à la colonie française du Gabon Congo capitale Libreville et le Portugal en profite pour obtenir la Landana qui devient le Kabinda le 14 Février 1885 sur le territoire GONDI. Violant ainsi les nouvelles règles fixées par l’Acte de la Conférence de Berlin du 26 Février 1885 qui reconnait la Neutralité Belge, donc la souveraineté internationale de l’Etat Indépendant dont fait partie le royaume GONDI capitale DJAKA(baptisé Stanley Pool).                                                                              Ainsi l’Acte de Berlin du 26 Février 1885 détermine le statut du bassin conventionnel du Congo qui comprend :                                                                  . Sur le plan politique : occupation territoriale effective et neutralité des territoires définis par la Conférence de Berlin;                                                    . Sur le plan économique : liberté de commerce et de navigation sur le Congo ;                                                                                                                       . Sur le plan social : interdiction de l’esclavage, répression de la traite en Afrique et sur mer, enfin engagement d’améliorer les conditions morales et matérielles des indigènes.                                                                                  C’est alors, sans l’ombre d’une hésitation et à l’unanimité que les 14 puissances désignent Léopold II comme Souverain du nouvel Etat.                     A Bruxelles où l’opinion publique est réticente, les Déclarations des 28 et 30 Avril 1885 arrêtées au terme de l’article 62 de la Constitution belge « autorisent Sa Majesté le Roi à être Chef d’Etat fondé en Afrique par l’Association Internationale pour l’Exploration et la Civilisation de l’Afrique centrale (AIA).                                                                                        A Paris, au Quai d’Orsay c’est un autre Acte de Berlin, le 26 Février 1885 qui reconnaît la ‘’Colonie du Congo Français’’ et la ‘’Liberté de commerce’’ dans tout le Bassin du Congo.                                                         C’est la cause du déclenchement de la ‘’PREMIERE GUERRE MONDIALE ‘’ à Mbirou-DJAKA dans le royaume GONDI capitale DJAKA. Au camp de concentration et d’extermination créé par le Terroriste, Djihadiste, Esclavagiste et Génocidaire Brazza, devenu par la force des choses le Cimetière GONDI, se transforme ensuite en Champ de bataille entre la France et l’Allemagne. Plusieurs fois le Théâtre des opérations entre la France et l’Allemagne discutant les colonies belges.            C’est ainsi que le 22 Août 1914, 17 Français décident comme d’habitude d’exécuter 45 GONDI, à Mbirou-DJAKA. Ils vont exécuter 44 GONDI et 20 gardes régionaux africains venus pour appliquer les ordres des Français et pour éviter la trahison ils seront exécutés à leur tour par les Français. Mais ce traitement inhumain des Français infligé sur les Noirs, amena le seul douanier allemand présent à Mbirou-DJAKA à faire appel aux autres Allemands bien armés qui sont venus exécuter les 16 Français qui étaient surpris de la réaction des Allemands.                                                                  Le 22 Août 2014, ''la France au Congo'' a rénové et inauguré le Monument de Mbirou-DJAKA. Il s’agit ici d’une profanation du Cimetière GONDI pour la deuxième fois, d’abord par les parents et les amis de l’un des seize terroristes français Mr Georges Potard, ensuite la France associe l’Allemagne à cette Apologie des Terroristes. Les ambassadeurs des deux pays ont  célébré ce macabre événement :
-         Pour la France : Mr Jean Pierre Vidon, et
-         Pour l’Allemagne : Mr Thomas Streder.                                                        La Belgique, pays colonisateur du peuple GONDI était absente ; pourtant la Belgique était l’alliée de la France et a combattu l’Allemagne en Afrique et en Europe lorsqu’il y a eu l’assassinat le 28 Juin 1914, en Bosnie, à Sarajevo, par des partisans serbes, de l’archiduc héritier François-Ferdinand d’Autriche. L’Allemagne avait été accusée d’avoir violé la Neutralité belge à tort. Ses colonies ont été mises sous tutelles ou sous mandat Franco-Anglais.Cette Première guerre mondiale débutée le 26 Février 1885 et a pris fin en 1920, est partie de l’Afrique centrale sur le territoire GONDI à Mbirou- DJAKA, dans le royaume GONDI capitale DJAKA et cette guerre a masqué le Génocide, l’esclavage du peuple GONDI et l’occupation du territoire GONDI pendant trois siècles de 1872 à 2015. (XIX, XX et XXI siècles).                                                                                                           Je demande le retrait et le transfert des restes mortels des 22 terroristes des terres GONDI :                                                                                                        - du terroriste Pierre Savorgnan de Brazza né le 25 Janvier 1952 à Castel de Gandolfo en Italie et décédé le 14 Septembre 1905 à Dakar au Sénégal, pour son transfert dans son pays d’origine l’ ltalie à Castel de Gandolfo, car trois ans après son inhumation au cimetière du Père Lachaise à Paris le 3 Octobre 1905 et transféré en Algérie dans un cimetière anonyme  en 1908, parce qu’il s’agit d’un terroriste. Le 3 Octobre 2006, les ossements du terroriste Pierre Savorgnan de Brazza, ceux de son épouse et de ses quatre enfants sont placés en grande pompe dans un Mausolée de marbre blanc à la demande de Mr Jacques Chirac, Président de la ''France au Congo capitale Brazzaville'' sur le territoire GONDI et ses descendants sous la houlette de madame Idanna Pucci di Barsento perçoivent 500.000 Euros par mois après avoir assigné l'Etat GONDI devant les juridictions françaises, "Sous astreinte de 500.000 Euros par mois de retard,d'assurer le rapatriement à ses frais vers l'Italie des restes mortels de Brazza, de son épouse et de ses quatre enfants"(2015-2006= 9 ans x 12=108 x 500.000= 54.000.000 Euros).                                                                                              - de son épouse Thérèse Pineton de Chambren Marie V de Savorgnan de Brazza de nationalité française et de ses quatre enfants Jacques Adolfe Antoine(1898-1903), Marthe épouse Borash Savorgnan De Brazza(1903-1948), Antoine Conrad Savorgnan De Brazza(1900-1947) et Charles Savorgnan De Brazza(1901-1962) pour leurs transfert dans la Lozère dans Languedoc-Roussillon en France ;
-    Les 16 terroristes inhumés à Mbirou-DJAKA doivent être exhumés et  transférés soit en France, en Italie, au Portugal et en Suisse :                                  . Leygue Raymond, né à Muret département de la Haute Garonne, le 5 Octobre 1887, fils de Raymond, et de Marie Loustan à transférer à Paris, au 85, rue d’Assas ou à Toulouse  401 vieux chemin sainte roche en France ;                                                                                                                                        .Cruyer Félix Marie, né à Champagnole département du Jura, le 15 Juillet 1884, fils de Pierre François et de Marie Philomène Guicho, domiciliés Champagnole(Jura), 38, Grand Rue ;                                                       . Coussi Pierre Stéphane, né à Saint-Trojan(Charante inférieure), le 26 Novembre 1884, fils de Pierre, et de Rosa Leguineau, domiciliés à Saint-Trojan ;(Charante inférieure) ;                                                                                   . Potard Georges Louis Marius, né à Paris département de la Seine (deuxième arrondissement), le 6 Avril 1881, fils de François Jules Jerdine, et de Augustines Louise du Puget, domiciliés à Savogny en terre Plaine, département de l’Youne ;                                                                                           . Guézille Albert, né à Rennes, département de l’île-en-Vilaine, le 2 Novembre 1884, fils de Victor François, et de Julie Fauvel, domiciliés, à Rennes(île-en-Vilaine) 14 Rue du Pré Botté ;                                                             . Mattos Antonio Marqués, né à Sao Joaninho(Portugal) le 13 Juin 1891,  fils de Monsel Marqués de Mattos, et de Maria Rodrigues Augusta, domiciliés à Vizer(Portugal)clezle sieur av,Antonio José Marqués, Rue de Mongualdi, numéro 25-27 ;                                                                                         . Dielenschneider Léon, né à Paris(onzième arrondissement) département de la Seine, le 3 Septembre 1880 domiciliés à Paris 25, avenue Laumière ;                                                                                                                    .Girard Marcel Henri, né au Pouzier, département de l’Ardèche, le 26 Mars 1884, fils de Louis, et de Pauline Delauche, domiciliés à Valence (Drôme) 23, Avenue Félix Faure ;                                                                               . de Charnacé,                                                                                                   . Maurice Charles Marcel, né à Paris( dix-septième arrondissement, département de la Seine, le 19 Juin 1882, fils de dame Perret, domiciliés à Paris, 11, rue des Terues ;                                                                                             . Colibert Fernand, né à Paris(Sixième arrondissement) département de la Seine, le 10 Janvier 1889, fils de Léon Alphonse, et de Marie Guérin, domiciliés à Paris, 150, Boulevard de Grenelles ;                                                          . Perrenoud Louis Edouard, né à la Sague, canton de Menchatelle (Suisse), le 10 Juillet 1887, fils de Camille, et un oncle habite à Bale, 38, Rue d’Oberwil ;                                                                                                              . Bournique Charles, né à Fréjus département du Var, le 1er  Juillet 1883, dont la mère dame Bournique, habite à Gérandener, (Vosges) grande rue ;                                                                                                                                . Faust Paul, né le 25 Décembre 1884, à Alger( Algérie), marié et dont la femme habite à Toulouse(Haute Garonne), 20, avenue Paris;                          . Brüch, Bride Arcide Charles, né le 12 Mars 1892, à Paris    (cinquième arrondissement), département de la Seine, dont la famille habite à Paris 20, rue Didot(Quatrième arrondissement) ;                                                         . Combard Charles Edmond, né le 7 Novembre 1893, à Mercyle Bad ’’Département de Meurthe de Tresselle’’, fils de Emile Anatole, et de Marie Clotilde Muel, et dont les parents, habitent à Mercyle Bad (Meurthe et Tresselle).                                                                                                                Tous, n’ont pas la nationalité GONDI. Il s’agit du Royaume GONDI capitale DJAKA, Etat indépendant le 19 Septembre 1876 ; libéré par la France  le 15 Août 1960 et admis à l’ONU comme Etat membre à part entière sous la fausse appellation de ‘’ Congo Brazzaville’’ le 20 Septembre 1960.                                                                                                                            Je vous demande de faire tout le possible pour mettre fin au Génocide, à l’esclavage, à l’occupation et au terrorisme exercés par procuration et avec comme chef de fil Mr Denis Sassou Nguesso un Mbochi venu du Zaïre et qui n’est ni Kongo ni Congolais mais un Mbochi décrit par Ponel le 30 Juin 1885, dans le rapport adressé à Dufourcq.
  Les noms Congolais et Congolaises ont été inventés par la France pour maquiller l'Occupation du territoire Gondi et le Génocide du peuple GONDI. Il n'existe pas de congolais ou congolaises dans ce monde: ni dans le territoire GONDI, ni à Kinshasa au Zaïre, ni au Kongo donc à Mbanza Kongo(San Salvador) l'actuel Angola capitale Luanda.
               Mes salutations très distinguées.
                      Fait à Meaux, le 26 Février 2015                                  Sa Majesté le Roi DJAKA 1er, du Royaume GONDI capitale DJAKA.
   
     
I- Pour information :                                                                                          - Diffusion générale
                            -  Toutes les 14 Nations présentes à la Conférence de Berlin du 15 Novembre 1884 au 26 Février 1885 ;
                            -    L’Union Européenne ;
                            -     L’Union Africaine;
                            -     L’Organisation des Nations Unies(ONU) ;
                           -     L’UNESCO;
                           -      La Francophonie.

II- Bordereau des Pièces joint à la lettre ouverte.
  1- Le Palais royal du Royaume GONDI à Pointe-Noire au Sud du territoire GONDI;
  2- Le Musée du royaume GONDI à DJAKA au Nord du territoire GONDI;
  3- La Lettre du Conseil des Notables et Sages de Ouesso;
  4- La liste des Présents à la désignation officielle du successeur traditionnel de Monsieur Kakinda Alexandre Mouamoune au nom de Monsieur le Médecin Colonel DJAKA David aux fonctions de Chef de Terre de Ouesso-District;
  5- L'Arrêté n°022/MISAT/RS/P/SG/SL - Portant nomination d'un Chef de Terre.-
  6- Procès verbal de Conseil de Famille de Kakinda Alexandre;
      Etude de Maître Brice-Bruno Okemba Elenga, Huissier de Justice, Commissaire-Priseur;
  7- Lettre n°2493/PM-CAB.- De Brazzaville, le 29 Décembre 2005 du Premier Ministre;
  8- Lettre n°2489/PM-CAB.- De Brazzaville, le 29 Décembre 2005 du Premier Ministre;
  9- L'Acte n°013/91/CNS/P/S.- Portant Débaptisation de certains lieux et établissements publics. Conférence nationale souveraine;
 10-La Conférence de Géographie de Bruxelles(12-19 Septembre 1876);
 11- La carte de l'Afrique et les colonies de l'Etat indépendant de l'Afrique centrale avant la tenue de la Conférence de Berlin;
 12- Décision de la Conférence de Berlin définissant les règles de la colonisation;
  13- Le discours de Bismarck le chancelier allemand à l'ouverture de la Conférence de Berlin le 15 Novembre 1884;
  14- Déclaration concernant la Traite des esclaves;
  15- L'Acte de Berlin reconnaissant la Neutralité Belge: Etat indépendant;
  16- L'Acte de Paris(Berlin bis) reconnaissant la colonie imaginaire du Congo français capitale Libreville;
  17- L'Afrique politique vers 1886, après la Conférence de Berlin(alors que la France n'avait que le Gabon comme colonie en Afrique centrale);
  18- La flotte belge stationnée sur le fleuve GONDI, avec son carnet de bord qui donne l'image du Camp de concentration et d' extermination du peuple GONDI érigé par le terroriste, génocidaire et esclavagiste Pierre Savorgnan de Brrazza depuis 1872;
  19- Le portrait de Brazza scrutant la carte de l'Afrique ;
  20-  Le terroriste Brazza dans les années 1870, photographié par Fratelli Vianelli à Venise.
  21-Le terroriste Brazza jouant l'indigène quand il utilise les cartouche de dynamite pour exécuter les GONDI à Mbirou-DJAKA, photographié par Paul Nadar en 1882;
  22- Le Camp de concentration et d'extermination des GONDI;
  23- Le terroriste Brazza déclencheur de la Première Guerre Mondiale au royaume GONDI capitale DJAKA en Afrique centrale frontière avec le Cameroun colonie allemande;
  24- Victoire des Allemands en 1894: Convention du 15 Mars 1894 et la Convention du 4 Novembre 1911 avec la naissance du "New Kamerun"
  25- Convention entre la France et l'Allemagne relative à leurs possessions en Afrique équatoriale ou centrale signée à Berlin le 4 Novembre 1911;
  26- Thèse de Doctorat de 3ème cycle en Géographie du Professeur Bonaventure Maurice Mengho sur cette Première Guerre Mondiale entre la France et l'Allemagne en 1910 toujours sur le territoire GONDI;
  27- A Ouesso, le 4 Juin 1913:Rapport sur la passation du Territoire de la Subdivision de Bayanga CAOM. AEF 2(D)52
  28- Rapport du Gouverneur du Moyen Congo, Monsieur Lucien Fourneau(tué ensuite dans la flotte belge le Luxembourg) du 22 Août 1914;
  29-L'Acte de décès confirmant la mort de 16 Européens terroristes;
  30- La Stèle édifiée des années plus tard, par les parents et les amis de l'un des seize Européens exécutés par les Allemands sans qu'il y ait une guerre à proprement parler car les français étaient surpris. La France n'a pas voulu les inhumer parce qu'ils avaient agi en génocidaires et terroriste. Cette stèle a été démolie par les Pluies diluviennes de DJAKA
Le cimetière GONDI se trouve ainsi profané.
   31- La rénovation de la Stèle et l'inauguration par les deux ambassadeurs de la France Mr Jean Pierre Vidon et pour l'Allemagne Mr Thomas Streder. Commémorant la réconciliation des deux peuples hier ennemis et aujourd'hui liés par une coopération exemplaire longue de plusieurs décennies à Mbirou-DJAKA le 22 Août 2014.
  32- La photographie pour immortaliser l’événement;
  33- La France au Congo capitale Brazzaville;
  34- Juillet 1915: Rapport Mensuel par Pinelli Pierre, Administrateur de Nola CAOM, AEF,4(2)D17:Prise de position des GONDI pour la France;
  35- Le Décret relatif au régime de la propriété foncière au "Congo français" capitale Paris, Libreville, Brazzaville et Pointe Noire;
  36- L'affaire Toqué-Gaud du 14 Juillet 1903;
  37-"Notes Sur la Sangha" en 1903, Administrateur colonial CAOM, AEF 4(2)D1
  38- Nègres et Bronzés en Afrique en 1926 par un géographe français Mr Onésime Reclus enseigné au Cours préparatoire et CM1 en France
  39- A l'Appel du Général de Gaulle, le 18 Juin 1940, le royaume GONDI capitale DJAKA sous occupation française était devenu la France libre capitale de la France occupée, devenant ainsi le théâtre d'activités politiques et d'opération militaires de premier ordre pour la défense de la France occupée par l'Allemagne. Les africains sont envoyés en renfort sur différents fronts. La France s'appuie également sur le royaume GONDI pour promouvoir son économie de guerre.
  40- Les Mbochi: Pombo(Bas Alima), 30 Juin 1885.- Rapport de Ponel à Dufourcq; étude détaillée des Mbochi; le pays, la vie économique et sociale, mœurs et religion.(MOA-VII. Autographe); les Mbochi venus du Zaïre à Mbandaka sont des réfugiés depuis 1750 sur le territoire GONDI. Et Mr Dénis Sassou Nguesso est Mbochi;
  41- L'Acte de Vente d'un terrain nu d'une superficie de 4,4 hectares situé au village DJAKA, le 8 Décembre 2003, à la famille Sassou;
  42-Cet homme s'approprie le pétrole GONDI;